Stade Rennais F.C. / Nice : les réactions

Retrouver les réactions d'après match de Pierre Dréossi, Olivier Monterrubio, Erik Edman et Frédéric Antonetti.

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Erik Edman : « Nous sommes très contents d'avoir gagné ce match. Ce n'était pas évident, face à une équipe de Nice bien regroupée derrière. On a eu un peu peur lors des quinze dernières minutes. Cependant, le plus important, ça reste les trois points et la victoire. Cela nous permet de travailler sereinement et c'est également bien pour la confiance. »

Olivier Monterrubio : « Ce fut une rencontre très dure. Ce carton rouge ne nous a pas aidé tant que ça, car il était difficile de faire sortir les Niçois. En deuxième mi-temps, on a essayé de bénéficier des espaces que nous avions en contre. Au cours de la partie, on a su être patient. En ce qui concerne le penalty, je n'ai pensé qu'à une chose, le mettre au fond. »

Pierre Dréossi : « Mathématiquement, c'est une satisfaction. Mis à part Sedan, on reste sur une bonne série depuis septembre. On est sur la bonne voie même si ce soir, cela a été difficile et si la rencontre a été âpre. A onze contre dix, ce n'est jamais évident. On a voulu garder l'équilibre face à une équipe niçoise très habile en contre. Dans ces cas-là, il faut jouer avec sa tête et pas seulement avec son coeur. Le seul regret que j'ai, c'est que nous n'ayons pas réussi à nous mettre à l'abri. Maintenant, on prépare la Coupe de la Ligue avec ambition. »


Frédéric Antonetti : « On a commencé avec un gros handicap. L'arbitre a voulu être sévère. Je n'ai pas revu la faute mais je pense que le jaune s'imposait. Mes joueurs se sont accrochés, Rennes avait le ballon mais n'était pas très dangereux. En seconde période, M. Piccirillo a encore voulu être sévère en sifflant ce penalty. A 10 contre 11, face à une équipe technique comme Rennes, c'est très difficile. En ce qui concerne l'arbitrage, il faut arrêter de dire que sur une saison, les erreurs s'équilibrent. On manque de courage dans ce pays car les ténors sont protégés. Croyez-moi, quand on est entraîneur de Bastia puis de Nice, on sait ce que c'est l'injustice. Enfin, avec mes joueurs, qui ont encore une fois fait preuve d'abnégation et de volonté, je ne m'inquiète pas. »