Actérim, partenaire officiel de la section féminine

Installé à Vern-sur-Seiche, à une quinzaine de kilomètres de Rennes, Actérim, via son président Laurent Gleyo (sur la photo), devient partenaire officiel de la section féminine du Stade Rennais F.C. Société de travail temporaire française fondée en 2004, Actérim verra désormais sa marque affichée sur les maillots des joueuses Rouge et Noir.

Partager
447a9764.jpg

La genèse du partenariat

Laurent Gleyo : "Cela fait maintenant plus de 30 ans que je vis à Rennes. Je suis abonné et supporter Rouge et Noir depuis les années 90. Amateur de football depuis le plus jeune âge, j’ai grandi dans le giron de Guingamp avant d’arriver à Rennes comme étudiant. J’ai d’ailleurs rencontré un copain de collège qui a été joueur au SRFC, Patrice Carteron. Quand on m’a proposé cette opportunité de partenariat, j’ai tout de suite répondu favorablement parce que j’ai vu tout l’intérêt de communiquer sur le football féminin et ses valeurs : la solidarité, la discipline, la culture de la gagne et de l’effort. Le football féminin est également porteur des questions d’inclusion et d’égalité qui font débat dans notre société aujourd’hui. Pouvoir associer Actérim à cette dynamique-là est un privilège."

 

Des valeurs communes entre le SRFC et Actérim

Laurent Gleyo : "Si les entreprises sont aussi présentes dans le sport, que ce soit avec le Stade Rennais F.C. ou d’autres clubs de judo ou de cyclisme par exemple, c’est que globalement entre la vie d’une entreprise et la vie d’une structure sportive, on retrouve beaucoup de valeurs communes telles que l’organisation, la discipline, le travail, l’abnégation, la résistance à l’échec. Dans le football, vous vous entraînez pendant des mois, vous vous préparez pendant des années et durant 90 minutes vous pouvez être tenu en échec, tout est remis en question. Toute l'institution, du jardinier aux footballeurs, se doit de reprendre le boulot le lendemain et de recommencer. En entreprise, c’est pareil ! On ne réussit pas tous, on a parfois des échecs, donc il faut se reprendre."