David, comment gère t-on la pression à quelques heures de la finale de la Coupe Gambardella ?
De la pression, il y en a par rapport au fait que ce soit une finale. Je pense que tout le monde sait ce qu'il a à faire. On est motivé et confiant.
Comment s'est passée cette semaine qui précède la finale ?
On a fait des entraînements au stade de la route de Lorient pour s'habituer aux grands stades. On a beaucoup parlé entre nous. Le coach nous a beaucoup parlé. Il nous a montré la voie pour supporter la pression et comment la gérer. Tout le monde a été à l'écoute. On a bien réagi par rapport à cela.
Avez-vous tenu compte de l'adversaire pour préparer cette finale ?
Bien sûr. Moi et Samuel (Souprayen) avons visionné quelques images. On sait que Bordeaux joue assez long dans le dos de la défense. Il faudra s'attendre à cela et se préparer.
Que penses-tu de cette équipe ?
C'est une équipe qui est joueuse avec de bons éléments sur les côtés. Il y a aussi de bons passeurs au milieu de terrain. Je connais pas mal de Bordelais. Je pense que ce sera une grosse opposition.
Penses-tu qu'il y a un favori pour ce match ?
Les deux équipes n'étaient pas les mêmes lorsqu'elles se sont rencontrées en championnat. Comme il y a des montées et des descentes entre les 18 ans et les Espoirs, les équipes ne sont pas identiques. Il n'y a pas vraiment de favori. Dans le football, tout peut basculer d'un côté comme de l'autre.
Es-tu impatient d'être à samedi ?
Je n'attends que cela. Le Stade de France est mythique. Il y a eu beaucoup de grands évènements là-bas avec notamment les finales de Ligue de Champions et de Coupe du Monde. Le fait de fouler cette pelouse est un honneur et une fierté surtout à mon âge.
