Samuel, y a-t-il de la pression avant cette finale au Stade de France ?
On s'est préparé toute la semaine et demain c'est la finale. Il y a de la pression mais elle est positive. On pense au Stade de France et à la finale. Un finale, cela se gagne. Dès que le match sera lancé, il n'y aura plus de pression.
Comment s'est déroulée cette semaine ?
On a préparé cette finale comme pour chaque match. On a pris chaque tour de qualification comme ils venaient. La finale approche et il faut la gagner. C'est un match important. Le coach a fait en sorte d'alléger les entraînements pour avoir du jus pour ce match. Cela devrait bien se passer.
Connais-tu cette équipe de Bordeaux ?
Oui, je la connais un peu. Gabriel Obertan est en sélection avec moi. Il y a aussi Henri Saivet qui en sélection des 18 ans je crois. On les a vus en demi-finale à Thionville. Je pensais plutôt que Le Havre allait passer car je connaissais bien cette formation. C'est une équipe solide et cette finale promet d'être un gros match.
Y aura-t-il un favori dans cette finale ?
Non je ne pense pas. Il est vrai que l'on n'a pas pris de but dans cette compétition. C'est l'une de nos forces. Mais Bordeaux a beaucoup de qualités également.
Est-ce une fierté d'être capitaine pour cette finale ?
Bien sûr. Surtout pour une finale au Stade de France. Ce serait beau de pouvoir soulever la Coupe.