
Jean-Armel, que t'évoques le match de samedi prochain ?
Avant la finale, il y a un match important contre Evian. Ce ne sera pas facile mais nous sommes des compétiteurs. Il faut savoir gérer ce genre de moment. On espère revenir de Haute Savoie avec les trois points.
Le capital confiance de l'équipe est-il entamé ?
Malgré le bon match contre Paris et la deuxième mi-temps contre Reims, les résultats ne suivent pas. On a retrouvé du mieux dans le jeu. On n'abandonne pas. Il reste sept matchs. Si on veut se relancer, il faut impérativement revenir avec la victoire.
A Evian, le groupe va t-il se préserver en vue de la finale de la Coupe de la Ligue ?
C'est en jouant avec le frein à main qu'il peut y avoir des mésaventures. De la même façon que Paris est venu chez nous avant le quart de finale retour de la Ligue des Champions, on va jouer le match à fond.
Pensez-vous à cette rencontre face à Saint-Etienne ?
ça approche. Bien sû r, le matin quand on se réveille, on y pense. Les gens sont là aussi pour nous le rappeler. Mais il ne faut pas se mettre dans le contexte de la finale alors qu'il y a un match à jouer avant. On aura le temps de la préparer la semaine prochaine.
Qu'imagines-tu lorsque tu penses à cette échéance ?
Pour quelqu'un comme moi qui n'ai jamais eu la chance de jouer au Stade de France, on imagine tous les supporters dans ce stade. On espère que l'issue sera favorable. Je n'imagine pas un autre scénario. J'espère que l'on ramènera la coupe. Mais ce n'est pas encore l'heure.
Qu'est ce qui peut resserrer les liens pour les prochains jours ?
Mercredi soir, nous sommes allés voir le match du PSG face à Barcelone. C'était décontracté et vraiment sympa. C'est une initiative des cadres. ça nous permet de sortir du contexte habituel.