
La finale :
" C'est un grand événement et c'est beaucoup de bonheur à vivre. Même si à Rennes, c'est devenu banal d'aller en finale, il faut être conscient que c'est un moment rare. En trente ans de carrière, je n'ai connu qu'une seule finale comme adjoint avec Bastia. Il faut en profiter ".
L'esprit de combat :
" La détermination et la concentration vont être des paramètres importants. Il faudra savoir également gérer émotionnellement l'ambiance. C'est un match particulier, mais cela reste un match de football ".
Pas de favori :
" Dans une finale, il n'y a pas souvent de favori. Ce sera du 50-50. Cela se joue souvent à pas grand-chose. Guingamp a peut-être un avantage psychologique, car ils nous ont battus à deux reprises cette saison ".
La finale de 2009 :
" Je ne pense pas qu'elle soit présente dans la tête des joueurs. Il y a juste Romain Danzé qui a vécu cela. Chez les supporters il y a certainement un esprit de revanche, mais pour les joueurs non ".
La pression :
" Si on perd, les observateurs continueront à dire que le Stade Rennais n'arrive pas à gagner. Si on la ramène, on mettra fin à une longue attente. On a rien à perdre. En demi-finale contre Angers face à une L2 à domicile, on avait la pression. Plus maintenant ".
La fête de la Bretagne :
" Il y aura une énorme ambiance. Ce sera la fête de la Bretagne. C'est quelque chose d'extraordinaire. C'est banalisé, car il y a déjà eu il y a cinq ans la même finale. Ce sont deux clubs rivaux, mais il y a un grand respect entre les deux. Ce sera une belle fête du football. Il faudra assimiler l'ambiance puis l'éliminer, car la vérité sera sur le terrain. "